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    Emmenez La Médée jusqu’au Prix HORS CONCOURS

    Voter pour que la Médée remporte le Prix Hors Concours des Editeurs indépendants : 1 : Cela prouverait que vous avez bon goût 2 : Cela prouverait qu’un roman policier peut AUSSI s’affirmer face à des ouvrages de littérature générale par sa qualité d’écriture ou son originalité ou sa beauté … 3 : Cela encouragerait des petits ou moyens éditeurs à faire confiance à des auteurs inconnus ou peu connus … 4 : Cela donnerait un joli coup de pouce – le vôtre- à une petite maison d’édition qui le mérite.. 5 : Cela créérait un autre trait d’union entre nous … 6 : Alors, bien sûr, la participation est…

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    Emmenez La Médée jusqu’au Prix HORS CONCOURS …

    Voter pour que la Médée remporte le Prix Hors Concours des Editeurs indépendants : 1 : Cela prouverait que vous avez bon goût 2 : Cela prouverait qu’un roman policier peut AUSSI s’affirmer face à des ouvrages de littérature générale par sa qualité d’écriture ou son originalité ou sa beauté … 3 : Cela encouragerait des petits ou moyens éditeurs à faire confiance à des auteurs inconnus ou peu connus … 4 : Cela donnerait un joli coup de pouce – le vôtre- à une petite maison d’édition qui le mérite.. 5 : Cela créérait un autre trait d’union entre nous … 6 : Alors, bien sûr, la participation est…

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    De Jack l’Eventreur à Xavier Dupont de Ligonnès…

    C’est l’histoire d’un homme qui cherche ses clefs sous un réverbère . Un autre homme s’approche et lui demande ce qu’il fait là. – Je cherche mes clefs qui sont tombées par terre mais je ne parviens pas à les retrouver. – Je vais vous aider, dit le nouveau venu. Mais au bout de 30 minutes de recherches le deuxième homme s’étonne. – Non vraiment, je ne comprends pas. Vous êtes sûr que vous avez perdu vos clefs ici ? – Ben non, répond le premier homme, je les ai perdues dans ma rue, mais dans ma rue, il n’y a pas de réverbère… Cette histoire que j’aime bien a…

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    Julie-Anne De Sée a voyagé sur « La Médée »

    Un flic, pugnace, coriace et peu loquace. Un gendarme ripoux qui ne l’emportera pas au paradis. Des femmes : épouses trop sages, l’une bafouée devenue veuve charmante pas vraiment éplorée, une hôtesse accorte, une éclusière scrupuleuse. Un étrange journaliste, au look improbable, mâtiné de Frédérick Lemaître (Pierre Brasseur) dans Les Enfants du Paradis. Des crimes, abominables : des enfants sont enlevés et tués. Des parents, injustement désignés coupables après un simulacre d’enquête bâclée par les gendarmes, sur fond de racisme des années 60. Un petit Poucet, qui sème des pièces sur son macabre chemin, mais qui se fait ogre. Un chien. Une péniche, la bien nommée Médée, cette amoureuse de…

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    « La Médée » est en lice pour le Prix Hors Concours

    [SÉLECTION HORS CONCOURS 2022]​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​L’Académie Hors Concours est heureuse de vous présenter sa nouvelle sélection 2022 Découvrez 40 textes d’auteur.ices et d’éditrices indépendantes en lice pour le prix Hors Concours 2022 ! Lien en bio pour recevoir la sélection*​​​​​​​Ne laissez pas ces textes vous filer entre les doigts !

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    Ludovic Francioli a lu La Médée …

    LA MEDEE – Benoît CHAVANEAU « … Madame Lucienne remplit son cahier et la Médée s’ébranla.La péniche franchirait plusieurs centaines d’écluses entre les Flandres et le Canal du Midi et, à chaque fois, de façon rituelle, l’homme cacherait l’enfant. Du moins sur le trajet aller.Car, au retour, l’enfant ne serait plus là … » Nous sommes dans les années 60.De nombreuses disparitions d’enfants non élucidées ont lieu dans les Flandres mais aussi en Belgique et au Pays-Bas.Deux corps sont découverts dans des sacs jetés dans un canal.Maurice Morge, inspecteur austère et solitaire de la P.J. de Lille, débarque alors dans le petit village de Wailly afin d’y mener des investigations après une enquête…

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    Jean Michel Isebe a lu « La Médée »

    Il y a indéniablement du Simenon dans ce polar remarquable. En effet , son atmosphère et son cadre présente d’étranges et superbes similitudes, sans compter l’époque qui y colle parfaitement. Le pays , les canaux , les personnages, tout en plus y est terriblement visuel. Quel plaisir j’ai pu éprouvé à la lecture de cet opus, c’est inimaginable. Et ce style, une écriture précise, presque aérienne, ce sens profond de la description, cette aisance narrative, on ne peut qu’être admiratif. Nous nous situons dans les années soixante, des disparitions d’enfants viennent angoisser cette contrée de Flandre faite de canaux et d’usines textiles. Le marinier Vermeer sillonne à l’aide de sa…